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. 2008 Sep 23;23(5):260–279. [Article in French] doi: 10.1016/j.immbio.2008.07.016

Tableau 5.

Défis du séquençage et exemples de paramètres modulant les performances des séquenceurs.

Réduire les coûts
 Parallélisation massive (105 à 108 réactions en parallèle)
 Miniaturisation
Optimiser le débit de séquençage
 Degré de parallélisation
 Vitesse de détection du signal
 Intérêt des nanopores (débit de 100–1000 bases/seconde versus 0,17 base/seconde pour l’électrophorèse capillaire)
Temps d’utilisation de la machine (absence de travail continu)
 Degré d’automatisation
 Temps entre les migrations appelés aussi « runs » (réaction et/ou migration et/ou analyse des échantillons)
 Temps de travail de l’opérateur
 Réanalyse des échecs de séquençage
Réduire le taux d’erreurs
 Contrôle de qualité intra-analyse
 Reséquencer une/plusieurs fois un même échantillon (lectures multiples d’un même échantillon)
Séquençage complet (sans zones non analysées)
 Difficulté d’analyse de certaines séquences, par exemple, les séquences répétées mononucléotidiques (cf. poly [A]), les séquences en épingle à cheveu (hairpin)
 Longueur de la séquence analysée (Sanger : jusqu’à 800 pb versus pyrosequencing et autres systèmes, 25–100 pb).
  La totalité du génome est plus difficile à obtenir avec de courtes séquences.
  Les courtes séquences (25–100 pb) sont un moyen puissant de reséquencer un génome alors que le séquençage de novo nécessite le plus souvent d’obtenir des longueurs supérieures à 100 pb