Tableau 5.
Défis du séquençage et exemples de paramètres modulant les performances des séquenceurs.
| Réduire les coûts |
| Parallélisation massive (105 à 108 réactions en parallèle) |
| Miniaturisation |
| Optimiser le débit de séquençage |
| Degré de parallélisation |
| Vitesse de détection du signal |
| Intérêt des nanopores (débit de 100–1000 bases/seconde versus 0,17 base/seconde pour l’électrophorèse capillaire) |
| Temps d’utilisation de la machine (absence de travail continu) |
| Degré d’automatisation |
| Temps entre les migrations appelés aussi « runs » (réaction et/ou migration et/ou analyse des échantillons) |
| Temps de travail de l’opérateur |
| Réanalyse des échecs de séquençage |
| Réduire le taux d’erreurs |
| Contrôle de qualité intra-analyse |
| Reséquencer une/plusieurs fois un même échantillon (lectures multiples d’un même échantillon) |
| Séquençage complet (sans zones non analysées) |
| Difficulté d’analyse de certaines séquences, par exemple, les séquences répétées mononucléotidiques (cf. poly [A]), les séquences en épingle à cheveu (hairpin) |
| Longueur de la séquence analysée (Sanger : jusqu’à 800 pb versus pyrosequencing et autres systèmes, 25–100 pb). |
| La totalité du génome est plus difficile à obtenir avec de courtes séquences. |
| Les courtes séquences (25–100 pb) sont un moyen puissant de reséquencer un génome alors que le séquençage de novo nécessite le plus souvent d’obtenir des longueurs supérieures à 100 pb |