Abstract
Objective
To compare endovascular and standard open repair of abdominal aortic aneurysms in terms of initial in-hospital costs and the costs of secondary interventions and surveillance.
Design
A retrospective study.
Setting
A university-affiliated tertiary care medical centre.
Patients
Seven patients who underwent elective endovascular (EV) repair of an abdominal aortic aneurysm in 1998 and 31 patients anatomically suitable for endovascular repair who underwent standard (STAN) elective repair. Follow-up ranged from 2 to 14 months.
Interventions
Elective repair of an abdominal aortic aneurysm with use of the standard technique or endovascular technology.
Outcome measures
Costs common to both groups were not determined. Costs were determined for total hospital stay, preoperative or postoperative embolization, grafts, additional endovascular equipment, and follow-up computed tomography.
Results
Groups were similar with respect to demographic data and aneurysm size (EV = 6.23 cm v. STAN = 6.05 cm). All patients were in American Society of Anesthesiologists class III or IV. Vanguard bifurcated grafts and extensions were used in the EV group. The total cost for both groups in Canadian dollars included: cost of stay (EV, 5.6 d, $2092.63 v. STAN, 10.7 d, $4449.19; p = 0.009); cost of embolization (EV, n = 3; $900/procedure); cost of follow-up CT (EV, 5.4 per patient; $450/CT); cost of grafts (EV = $8571.43, STAN = $374); additional radiologic equipment costs (EV = $1475). The mean total cost differed significantly between the 2 groups (EV = $14 967.63 v. STAN = $4823.19; p = 0.004). The additional cost associated with a reduction in hospital stay was calculated by determining the incremental cost-effectiveness ratio (ICER: difference in mean costs/difference in mean length of stay = $1604.51).
Conclusions
Endovascular repair continues to be more expensive than standard open repair determined according to procedural and follow-up costs. The technology is still in the developmental stage, but as it evolves and follow-up protocols are streamlined, it is hoped that there will be an eventual reduction in the costs associated with the endovascular procedure.
Abstract
Objectif
Comparer, dans la réparation des anévrismes de l’aorte abdominale, l’intervention endovasculaire avec la chirurgie effractive habituelle, aux chapitres des coûts initiaux à l’hôpital et des coûts des interventions secondaires et du suivi.
Conception
Étude rétrospective.
Contexte
Centre médical de soins tertiaires affilié à une université.
Patients
Sept patients qui ont subi une chirurgie endovasculaire (EV) élective pour un anévrisme de l’aorte abdominale en 1998 et 31 patients, dont l’anatomie se prê-tait à une intervention endovasculaire, qui ont subi une chirurgie élective standard (STAN). Le suivi variait de 2 à 14 mois.
Interventions
Intervention élective de réparation d’un anévrisme de l’aorte abdominale faisant appel à la technique habituelle ou à la technologie endovasculaire.
Mesures de résultats
Les coûts communs aux deux groupes n’ont pas été calculés. On a établi les coûts de l’hospitalisation totale, de l’embolisation préopératoire et postopératoire, des greffons, du matériel endovasculaire supplémentaire et de la tomodensitométrie de suivi.
Résultats
Les données sur les caractéristiques démographiques et la taille d’anévrisme étaient semblables dans les deux groupes (EV = 6,23 cm c. STAN = 6,05 cm). Tous les patients faisaient partie des classes III ou IV de l’American Society of Anesthesiologists. Des extensions et greffons bifurqués d’avant-garde ont servi dans le groupe de traitement EV. Dans les deux groupes, le coût total, établi en dollars canadiens, comprenait : le coût de l’hospitalisation (EV, 5,6 j, 2092,63 $ c. STAN, 10,7 j, 4449,19 $; p = 0,009); le coût de l’embolisation (EV, n = 3; 900 $/intervention); le coût de la tomodensitométrie de suivi (EV, 5,4 par patient; 450 $/tomodensitométrie); le coût des greffons (EV = 8571,43 $ STAN = 374 $); les coûts liés au matériel de radiologie supplémentaire (EV = 1475 $). Le coût total moyen différait considérablement entre les deux groupes (EV = 14 967,63 $ c. STAN = 4823,19 $; p = 0,004). La détermination du rapport coût-efficacité différentiel (RCED : différence entre les coûts moyens/différence entre les durées moyennes d’hospitalisation = 1604,51 $) a permis de calculer le coût supplémentaire qu’occasionne la réduction de la durée d’hospitalisation.
Conclusions
L’intervention endovasculaire demeure plus coûteuse que la chirurgie effractive habituelle, selon les coûts d’intervention et de suivi. La technologie est encore en cours de mise au point, mais on espère qu’à mesure qu’elle évoluera et que les protocoles de suivi seront mis à jour, les coûts associés à l’intervention endovasculaire diminueront.
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