Abstract
Objective
To evaluate clinical and functional outcomes resulting from the allograft-composite technique used for proximal femoral osteoarticular reconstruction in patients who had limb salvage surgery for primary bone tumours.
Design
A retrospective review of a prospectively gathered database to provide a descriptive study.
Setting
A tertiary care musculoskeletal oncology unit in a university hospital.
Patients and interventions
Patients treated between 1987 and 1993 were eligible for inclusion in this study if they met the following criteria: they were treated surgically for a primary malignant bone tumour; and a proximal femoral allograft-implant composite technique was used for the reconstruction.
Main outcome measures
Major postoperative complications with emphasis on mechanical complications in the reconstructive composite implant. Functional outcome in a subset of patients using the 1987 and 1994 versions of the Musculoskeletal Tumor Society instrument, the Short-Form-36 and the Toronto Extremity Salvage Score.
Results
There were 5 mechanical and 2 infectious complications requiring surgical intervention. Functional scores were generally low.
Conclusions
Our results suggest that the perceived benefits of the composite technique may accrue only to a few patients, partly owing to the risk of mechanical complications. Although these can be reduced by avoiding the use of cement in the host femur, the generally poor functional outcomes suggest that this technique needs to be studied further in this group of patients and compared with other reconstructive techniques, particularly the prosthetic implant.
Abstract
Objectif
Évaluer les résultats cliniques et fonctionnels de la technologie d’allogreffe composite utilisée pour une reconstruction ostéoarticulaire fémorale proximale chez des patients qui ont subi une intervention chirurgicale de sauvetage du membre à cause d’une tumeur osseuse primitive.
Conception
Revue rétrospective d’une base de données constituée de façon prospective de façon à permettre une étude descriptive.
Contexte
Unité d’oncologie musculosquelettique de soins tertiaires dans un hôpital universitaire.
Patients et interventions
Les patients traités entre 1987 et 1993 pouvaient être inclus à l’étude s’ils satisfaisaient aux critères suivants : ils avaient subi une intervention chirurgicale pour une tumeur osseuse maligne primitive et l’on avait utilisé pour la reconstruction une technique composite d’allogreffe-implant fémoral proximal.
Principales mesures de résultats
Principales complications postopératoires mettant l’accent sur les complications mécaniques dans l’implant composite de reconstruction. Résultat fonctionnel chez un sousensemble de patients utilisant les versions 1987 et 1994 de l’instrument de la Musculoskeletal Tumor Society, la formule courte 36 et le Toronto Extremity Salvage Score.
Résultats
Il y a eu cinq complications mécaniques et deux complications infectieuses qui ont obligé à procéder à une intervention chirurgicale. Les résultats fonctionnels ont été en général bons.
Conclusions
Nos résultats indiquent que quelques patients seulement peuvent profiter des avantages perçus de la technique composite en partie à cause du risque de complications mécaniques. Même si l’on peut réduire ces risques en évitant d’utiliser du ciment dans le fémur hôte, les résultats fonctionnels généralement médiocres indiquent qu’il faut étudier davantage cette technique chez ce groupe de patients et la comparer à d’autres techniques de reconstruction, et en particulier la prothèse.
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