Abstract
Ligaments are highly organized, dense, fibrous connective-tissue structures that provide stability to joints and participate in joint proprioception. Injuries to ligaments induce a healing response that is characterized by the formation of a scar. The scar tissue is weaker, larger and creeps more than normal ligament and is associated with an increased amount of minor collagens (types III, V and VI), decreased collagen cross-links and an increased amount of glycosaminoglycans. Studies have shown that certain surgical variables alter the healing of ligaments. Such factors include the size of gap between the healing ligament ends, the use of motion in a stable joint and the presence of multiple ligamentous injuries. Research on ligament healing includes studies on low-load and failure-load properties, alterations in the expression of matrix molecules, cytokine modulation of healing and gene therapy as a method to alter matrix protein and cytokine production.
Abstract
Les ligaments sont des structures très organisées constituées de tissus conjonctifs fibreux et denses, qui stabilisent les articulations et jouent un rôle dans la capacité proprioceptive des articulations. Les lésions ligamentaires provoquent une réaction de guérison caractérisée par la formation d’une cicatrice. Le tissu cicatriciel est plus faible, plus gros et plus élastique que le ligament normal et associé à une augmentation des collagènes mineurs (types III, V et VI), une réduction des ponts de collagène et une augmentation des mucopolysaccharides. Des études ont démontré que certaines variables chirurgicales altèrent la guérison des ligaments, notamment l’espace entre les extrémités ligamentaires en voie de guérison, le mouvement dans une articulation stable et la présence de multiples lésions ligamentaires. La recherche sur la guérison des ligaments comprend des études sur les caractéristiques à faible charge et à charge de rupture, des altérations de l’expression des molécules de la matrice, la modulation de la guérison par les cytokines et la génothérapie comme moyen d’altérer les protéines matricielles et la production de cytokines.
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