Abstract
Objective
To evaluate outcomes of trauma patients at a northern community trauma referral centre that does not meet several of the guidelines for a trauma centre.
Design
A retrospective study.
Setting
Sudbury General Hospital in northern Ontario.
Participants
All trauma patients admitted between 1991 and 1994 who had an Injury Severity Score (ISS) greater than 12.
Outcome measures
Actual survival to discharge was compared to survival predicted by TRISS analysis. Z, W and M scores were calculated by standard TRISS techniques.
Results
Of 526 patients with an ISS greater than 12, 416 (79%) were suitable for TRISS analysis. Of these 416 patients, 310 (74%) were men. The mean age was 39 years. Two hundred and sixty-one (63%) patients were admitted directly to the Sudbury General Hospital, whereas 155 (37%) were transferred from other hospitals. The leading causes of injury were motor vehicle–traffic accidents in 48%, motor vehicle–nontraffic in 21% and falls in 8%. Overall, there were more unexpected survivors than patients who died. The Z score for survivors was 4.95, and the W score was 5.66.
Conclusions
In the setting of a geographically isolated, medium-volume trauma centre where blunt injuries predominate, excellent trauma survival can be achieved without meeting all trauma centre guidelines for staffing and facilities. Relaxing stringent requirements for the availability of physicians may facilitate surgical recruitment and retention.
Abstract
Objectif
Évaluer les résultats des soins dispensés aux accidentés à un centre communautaire traumatologique de référence du Nord qui ne satisfait pas à toutes les lignes directrices d’un centre de traumatologie.
Conception
Étude rétrospective.
Contexte
Hôpital général de Sudbury dans le nord de l’Ontario.
Participants
Tous les accidentés admis entre 1991 et 1994 et dont l’indice de gravité du traumatisme (IGT) était supérieur à 12.
Mesures de résultats
On a comparé le nombre réel de patients qui ont survécu à un traumatisme au nombre de survivants prédit par l’analyse TRISS. On a calculé des ratios Z, W et M à l’aide des techniques ordinaires du TRISS.
Résultats
Des 526 patients affichant un IGT supérieur à 12, 416 (79 %) se prêtaient à une analyse du TRISS. De ces 416 patients, 310 (74 %) étaient des hommes. L’âge moyen était de 39 ans. Deux cent soixantetrois (63 %) patients ont été admis directement à l’hôpital général de Sudbury, tandis que 155 (37 %) provenaient d’autres hôpitaux. Les accidents d’automobile liés à la circulation ont figuré pour 48 % des traumatismes, les accidents de véhicule motorisé non liés à la circulation ont été à l’origine de 21 % des traumatismes, et enfin les chutes ont compté pour 8 % des causes de blessures. Dans l’ensemble, le nombre de survivants non prévus a été plus élevé que le nombre de patients qui sont décédés. Le ratio Z chez les survivants s’est établi à 4,95 et le ratio W à 5,66.
Conclusions
Dans un centre de traumatologie à volume moyen qui est isolé géographiquement et où dominent les traumatismes contondants, il est possible d’obtenir un excellent taux de survie sans pour cela satisfaire à toutes les lignes directrices des centres de traumatologie en ce qui concerne la dotation et les installations. L’assouplissement des exigences rigoureuses sur la disponibilité des médecins pourrait favoriser le recrutement et la rétention de chirurgiens.
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